Hortithérapie : la thérapie par le jardinage

HORTITHÉRAPIE : LA THÉRAPIE PAR LE JARDINAGE

hortitherapie alzheimer

Le domaine des Interventions Non-médicamenteuses (INM) est en plein essor depuis quelques décennies et leurs bienfaits ont été prouvés par des centaines d’études au niveau mondial. Les INM ont pour objectif de maintenir et/ou d’améliorer les capacités cognitives, physiques, psychologiques et sociales et plus globalement la qualité de vie des patients Alzheimer.

En parallèle, elles ont aussi pour objectifs d’améliorer la qualité de vie et le moral des aidants familiaux et la qualité du contexte de travail des professionnels.

Aujourd’hui, nous nous intéressons à la thérapie par le jardinage dite l’hortithérapie. Dans un premier temps, nous définirions l’hortithérapie et ses fondements. Puis, dans un second temps, nous étudierons les différents processus impliqués dans la pratique de cette thérapie. Et pour finir nous conclurons sur quelques conseils de bonnes pratiques.

I – QU’EST-CE QUE L’HORTITHÉRAPIE ?

DÉFINITION

L’hortithérapie est une intervention non médicamenteuse, au même titre que la médiation animale ou encore la zoothérapie ou l’activité physique adaptée, qui consiste à utiliser le jardinage et plus généralement la relation avec les plantes et les matériaux issus de la nature dans le but d’améliorer la santé physique, mentale et sociale.

Cette activité est très bien adaptée pour les personnes atteinte de la maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée quel que soit le stade.

FONDEMENTS DE L’HORTITHÉRAPIE

L’humain est programmé pour interagir avec le milieu naturel dans lequel il évolue que cela soit biologiquement ou spirituellement.

La nature lui offre des émotions positives, une mobilisation de son corps, une diminution du stress, une augmentation de son attention et de sa concentration

Elle lui permet de s’évader et stimule sa créativité, sa sociabilité et renforce son estime de soi.

Ces rapports fondamentaux sont instinctifs. Ils demeurent longtemps conservés et peuvent être utilisés quelles que soient les pathologies.

hortitherapeute

II- QUELS SONT LES PROCESSUS IMPLIQUÉS DANS L’HORTITHÉRAPIE ?

Le rapport à la nature par l’hortithérapie peut apporter de nombreux bienfaits et à plusieurs niveaux en agissant en harmonie avec le corps et l’esprit.

Au niveau du processus physique :

Elle entretient l’appareil musculo-squelettique en agissant sur : son tonus, sa souplesse, sa force musculaire, sa coordination motrice, et sa motricité fine.

En ce qui concerne l’appareil cardio-vasculaire, elle régule le rythme cardiaque, la tension artérielle et le réseau veineux et permet la nutrition et la croissance des différentes cellules du tissu cutané.

Au niveau du processus sensoriel

L’hortithérapie mobilise : la vue, l’odorat, le goût, l’ouïe, le toucher, l’orientation spatio-temporelle, l’équilibre et la perception du positionnement dans l’espace.

De plus, l’exposition à la lumière naturelle régule le rythme veille/sommeil, l’appétit, la vitamine D, l’humeur et renforce l’immunité naturelle.

Au niveau du processus cognitif

Le jardinage stimule la mémoire épisodique, la mémoire sémantique, la mémoire procédurale et la mémoire culturelle.

La pratique de ce dernier stimule les émotions, la mise en récit et l’imagination.

Au niveau du processus psychologique et comportemental

 

La thérapie par le jardinage amène l’autonomie corporelle, une meilleure estime de soi, et l’adaptation aux situations. Elle permet également l’expression des émotions et la communication avec les autres participants.

Au niveau du processus social

La pratique du jardinage permet une ouverture au monde et aux autres. Les participants sont à l’écoute d’eux-mêmes, des autres ainsi que de la nature. Ils sont plus disposés à échanger, car le cadre thérapeutique apporte une diminution du stress et engendre des interactions sociales. Et par rebond, ces dernières permettent l’amélioration de la qualité de vie, l’acceptation de la diversité et un maintien de la dignité des participants.

III- CONSEILS DE BONNES PRATIQUES

POUR QUI EST FAITE CETTE ACTIVITÉ ?

 

Cette activité est particulièrement adaptée aux personnes ayant la maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée. Bien sûr, cette activité se base sur le volontariat et aura beaucoup plus d’impact sur les personnes qui aiment la nature et le jardinage.

QUELLES SONT SES INDICATIONS ?

Les séances d’hortithérapie peuvent être prescrites dans le cadre :

– d’une réhabilitation physique globale

– d’un entretien cognitif

– d’un moyen de réduire les troubles du comportement et les troubles psychiques.

QUELLES SONT SES CONTRE-INDICATIONS ?

Les participants doivent obligatoirement avoir une vaccination antitétanique à jour.

Et évidemment, le participant ne peut pas avoir d’asthme allergique sévère et non contrôlé.

QUI SONT LES DIFFÉRENTS INTERVENANTS ?

L’équipe est en général composée d’un hortithérapeute, d’un jardinier médiateur et de soignants sensibilisés à la pratique et ses enjeux.

DANS QUELS CADRES SE DÉROULENT UNE SÉANCE ?

La thérapie par le jardinage peut se dérouler au choix :

– en institution

– au domicile de la personne atteinte de troubles cognitifs

– chez le professionnel

– dans un jardin aménagé, une salle, une terrasse, un balcon ou encore une serre.

– au fauteuil, près d’une fenêtre ouverte.

À tout cela, il faut aussi penser en termes de sécurité (attention aux chutes possibles) et les soucis de confort.

Et bien évidemment, il est essentiel d’avoir les matériaux adaptés : outils, jardinières surélevées, table de rempotage,  plateaux, tabourets etc

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Alzy récapitule pour vous :  

– L’hortithérapie est une intervention non médicamenteuse aux bienfaits multifactoriels (physique, psychique, social, comportemental)

 

– Cette activité est particulièrement adaptée aux personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée et cela quel que soit le stade.

 

– Il n’existe en France actuellement aucun programme certifiant, mais on peut être sensibilisé par le biais de la formation continue.

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L’activité physique adaptée et la maladie d’Alzheimer

L’ACTIVITÉ PHYSIQUE ADAPTÉE ET LA MALADIE D’ALZHEIMER

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Les interventions non-médicamenteuses sont inscrites dans le cadre des projets de soins des personnes atteintes de troubles cognitifs. Leurs objectifs sont différents en fonction de la personne pour qui est établi le parcours. Cependant, toutes les études s’accordent sur le fait qu’elles ont de grands bénéfices.

Aujourd’hui, nous faisons un focus sur l’APA soit l’Activité Physique Adaptée. Dans un premier temps, nous définirons l’APA et ses fondements. Puis, dans un second temps nous nous pencherons sur les intentions thérapeutiques de cette méthode. Et nous finirons par sa prise en charge et quelques exemples APA.

I – L’ACTIVITÉ PHYSIQUE ADAPTÉE ET SES FONDEMENTS

Définition

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé l’APA se définit comme « tout mouvement corporel produit par la contraction des muscles squelettiques entraînant une augmentation de la dépense d’énergie au-dessus de la dépense de repos ».

Chez un senior avançant dans l’âge, la maladie ou encore un handicap c’est le concept d’Activité physique Adaptée qui plébiscité. Selon le ministère de la santé l’APA est : la pratique dans un contexte d’activité du quotidien, de loisir, de sport ou d’exercices programmés, des mouvements corporels produits par les muscles squelettiques, basée sur les aptitudes et les motivations des personnes ayant des besoins spécifiques qui les empêchent de pratiquer dans des conditions ordinaires.

Elle est dispensée à des fins de prévention, de rééducation, de réadaptation, de réhabilitation, de réinsertion, d’éducation, et/ou de participation sociale. Selon les objectifs, mais aussi les incapacités et pathologies, certains exercices sont spécifiques et entraînent une fonction physique particulière comme les capacités cardiorespiratoires, l’endurance, la souplesse, la force, ou l’équilibre alors que d’autres exercices sont dits multimodaux, c’est-à-dire qu’ils entraînent plusieurs fonctions.

Contrairement au sport basé sur la performance l’Apa repose sur le soutien, le maintien ou de développement de la santé et des capacités propres de la personne bénéficiaire, toujours dans une approche positive afin de garder ou récupérer une bonne estime de soi et une bonne perception de son corps.

FONDEMENTS DE L’APA

Selon l’INSERM ayant étudié plusieurs milliers d’études sur la corrélation entre les maladies chroniques et la pratique d’activité physique, un certain nombre de bénéfices ont ainsi été observés que cela soit sur le plan physique, cognitif ; comportemental, ou encore social.

L’activité physique permet de stimuler plusieurs zones du cerveau : les zones motrices, les zones de coordination-visuelle et de motricité, l’équilibre, mais aussi la mémoire. De plus, les études prouvent que la pratique d’un sport permet la sécrétion d’endorphine et de sérotonine, hormones du bien-être et par conséquent, le sport peut réduire les risques de dépression

senior activites

II – QUELLES SONT LES INTENTIONS THÉRAPEUTIQUES DE L’APA

Elles peuvent être nombreuses. En voici, une liste non exhaustive :

– Améliorer la santé du cœur et des vaisseaux sanguins.

– Réduire le risque de certains types de cancer (cancer du sein ou du côlon), d’AVC et diabète de type 2.

– Améliorer la forme physique et par conséquent le maintien de muscles et des articulations plus souples.

– Améliorer la capacité de s’habiller, de nettoyer, de cuisiner et d’effectuer d’autres activités quotidiennes comme par exemple se baisser pour récupérer un objet.

– Garder des os solides et réduire le risque d’ostéoporose.

Améliorer le sommeil.

– Offrir des possibilités de se sociabiliser et réduire le sentiment d’isolement ou de dépression

– Réduire le risque de chutes en améliorant la force et l’équilibre

– Améliorer la confiance et l’estime de soi

 

L’APA EST FAITE POUR QUI ? ET POUR QUELLES APPLICATIONS ?

L’APA est faite pour :

– Toutes les personnes enfant ou adultes atteintes de maladie chronique ou de handicap ainsi que pour les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée aux stades légers à sévères.

NB : Les aidants familiaux peuvent participer aux séances. C’est mieux et cela apaise les situations conflictuelles et surtout cela permet de passer un bon moment entre aidant et aidé.

 

L’APA a des effets bénéfiques sur :

– L’apraxie.

– Les troubles de la mémoire, de l’humeur, l’apathie, l’anxiété.

– Les troubles du comportement comme l’agitation psychomotrice, la déambulation, ou encore l’opposition envers les soins.

– Les troubles du rythme entre veille et sommeil.

De plus, elle permet une amélioration des fonctions vitales et des performances physiques (capacités cardio-respiratoires, réflexes et coordination, équilibre, puissance musculaire et poids).

 

COMMENT SE DÉROULE UNE SÉANCE ?

 

Soit à domicile, en salle ou en institution.

– Si c’est en salle : la pièce doit être aérée et isolée, les fenêtres occultées par des rideaux, et il doit y avoir une bonne luminosité.

– Au niveau des équipements, il faut : des chaises ou des fauteuils, des tables, de la musique.

– Du matériel de gym : ballons et balles de différentes tailles et textures, des anneaux, des plots, des élastiques, des raquettes adaptées, etc.

– Période : les séances sont régulières suivant toujours le même créneau horaire.

– Fréquence : une à deux fois par semaine (selon la condition physique des participants).

– Durée : de 30 minutes à une heure maximum. L’arrêt de l’activité physique s’accompagne d’une perte des acquis et d’un «déconditionnement». Il faut aussi savoir que l’inversement positif, est toujours possible.

– Prise en charge individuelle ou en groupe de 3 à 5 personnes.

– Routine d’échauffement au début et d’étirements à la fin de la séance.

NB : le programme se déroule dans un cycle de progression. Il peut comprendre : des exercices de force, souplesse, d’équilibre, de coordination et d’endurance. Il permet aussi de travailler l’attention, la mémoire et la détente. En cas de risque de chute pathologique, on peut proposer si c’est possible des exercices assis permettant d’améliorer aussi la condition physique.

– Le programme d’activité physique est supervisé par des professionnels certifiés en APA.

– L’aptitude au programme doit être au préalable évaluée par le médecin traitant et/ou un psychologue.

– D’autres professionnels peuvent contribuer à la mise en place : psychologue, psychomotricien, kinésithérapeute, orthophoniste, ergothérapeute, infirmier, ou encre aide-soignant.

III – PRISE EN CHARGE ET EXEMPLES D’APA

L’APA s’inscrit dans le parcours de soin ALD et est prescrit par certificat médical par le médecin. Ce dernier est indispensable pour pouvoir pratiquer une APA. Sur ce certificat figureront : les objectifs thérapeutiques, les critères de sécurité à respecter et les contre-indications à prendre en considération.

Sachez que si votre proche souhaite poursuivre son activité physique l’année suivante, la visite médicale devra être renouvelée pour s’adapter à l’évolution de la maladie et à ses symptômes.

QUELQUES EXEMPLES D’APA POSSIBLES

Les exercices assis

Ces exercices visent à développer ou à maintenir la force musculaire et l’équilibre, et sont moins intenses que les exercices en position debout.  Le nombre de répétitions de chaque exercice augmentent avec le temps.

– Tourner le haut du corps d’un côté à l’autre

– Relever les talons et les orteils

– Lever les bras vers le plafond

– Lever le bras et la jambe opposé

– Plier les jambes

– Applaudir sous les jambes

– Faire le vélo des jambes

– Faire des cercles avec les bras

– Pratiquer le passage de la position assise à la position debout.

La natation

La natation, sous surveillance, est une bonne activité pour les personnes atteintes de démence. Beaucoup de gens trouvent la sensation d’être dans l’eau apaisante et apaisante. Certaines études ont également montré que la natation peut améliorer l’équilibre et réduire le risque de chute chez les personnes âgées. Cette activité muscle en douceur.

Le tennis de table

Le tennis de table (ou « ping-pong »), stimule le système cardiovasculaire et améliore l’endurance. Cette activité permet de se dépenser et de brûler des calories, et elle entraîne une meilleure oxygénation du cerveau.  Le ping-pong sollicite l’ensemble des muscles et des articulations du corps. De cette manière, il contribue à améliorer la coordination motrice et à travailler l’équilibre en profondeur, ce qui permet également de prévenir le risque de chutes.

De plus, cette activité améliore la concentration, l’attention, la vitesse de réaction et les réflexes.

Les arts martiaux

Les arts martiaux comme le Taï-Chi Chuan ou le Qi Gong consistent à réaliser des mouvements lents et doux qui permettent de travailler la souplesse articulaire et la tonicité des muscles en profondeur.

Selon les capacités physiques des participants, les exercices peuvent s’effectuer en position assise ou debout.

Les mouvements sont lents et doux, ils permettent aux personnes souffrant de démence d’améliorer leur capacité d’attention et de concentration.

Ces disciplines permettent également aux participants d’apprendre à mieux coordonner leurs mouvements dans l’espace.

Par ailleurs, comme ces ateliers s’organisent généralement en petits groupes, ils permettent de favoriser la création de liens sociaux entre les participants et contribuent à réduire les éventuels troubles de l’humeur et du comportement.

Le yoga

D’après plusieurs études, la pratique du yoga permettrait de réduire l’apparition des troubles cognitifs chez les personnes âgées.

En effet, lorsqu’elle est pratiquée de manière régulière, cette discipline contribue à renforcer les capacités cérébrales et cognitives du cerveau et notamment la mémoire, l’attention et la concentration.

Une pratique régulière entraînerait également une sensation d’apaisement, un relâchement des tensions ainsi qu’une diminution du risque de dépression.

Cette discipline douce permettrait aussi de renforcer le système respiratoire. Comme les postures sollicitent l’ensemble des muscles, elles contribuent à acquérir un meilleur équilibre, une plus grande souplesse et permettent de prévenir le risque de chutes.

La marche à pied

La Haute Autorité de la Santé recommande l’exercice physique comme la marche à pied pour entretenir la forme physique, améliorer l’équilibre et prévenir le risque de chutes chez les personnes âgées.

La pratique régulière de la marche permettrait notamment aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer d’améliorer leurs fonctions cognitives et de réduire leurs troubles de l’humeur et du comportement.

De plus, comme elle renforce les muscles, la marche à pied contribuerait également à limiter le risque de fractures, de prévenir l’arthrose et d’améliorer la plasticité des tendons.

La gymnastique douce

La gymnastique douce se compose de plusieurs types d’exercices physiques comme des étirements, des assouplissements et des postures corporelles. Lorsqu’elle est adaptée aux personnes âgées atteintes de fragilités, elle peut se réaliser assise sur une chaise.

En effet, lorsqu’elle est pratiquée régulièrement, elle contribue à maintenir la condition physique et à améliorer le système cardio-respiratoire.

De plus, la réalisation d’étirements et d’exercices d’assouplissement permet aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer d’améliorer leur flexibilité, de conserver leur mobilité et de travailler leur coordination motrice. Au quotidien, cela leur permet d’avoir plus de facilités à réaliser les actes de transferts (comme  le fait de se mettre debout, de s’asseoir, de se coucher) et d’être plus autonomes.

La danse

La danse est une discipline qui permet de travailler :

– Les capacités motrices en effectuant correctement les mouvements de danse, en adoptant une bonne posture et en gardant l’équilibre.

– Les capacités cognitives comme l’apprentissage et la mémoire (mémorisation des mouvements), l’attention, la concentration et la coordination (enchaînement des mouvements en synchronisation avec la musique et avec les pas de son partenaire)

– Les aptitudes sociales en tissant une relation de confiance avec son partenaire de danse.

– Les capacités émotionnelles en livrant une interprétation personnelle de la chorégraphie et en exprimant ses émotions.

 

Le jardinage

D’après plusieurs chercheurs, le jardinage permettrait aussi à une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer :

– D’améliorer les capacités d’attention, de concentration et de mémorisation

– D’améliorer la motricité

– De stimuler la parole et le vocabulaire

– De réduire les troubles de l’humeur et l’anxiété

– De retrouver le sourire

– D’apaiser les douleurs

– De diminuer la prise de certain médicament psychotrope. 

– D’éveiller le toucher, l’odorat, mais aussi la vue

NB : il existe des clubs de jardinage adaptés aux personnes souffrant de troubles cognitifs

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– L’APA s’inscrit dans le parcours de soin ALD et est prescrit par certificat médical par le médecin.

– Les séances d’APA sont réalisées par des professionnels certifiés et peuvent être pratiquées aussi bien en institution qu’à domicile.

– Les aidants familiaux sont les bienvenus aux séances.

-N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre mairie ou encore chez la Fédération Française Sport pour tous, la Fédération Française d’Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire (FFEPGV) ou encore l’association Siel Bleu

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